Un  Récit merveilleux

  «Gaëlla ou l'alchimie du silence»

        « Gaëlla l’alchimie du silence » est la merveilleuse histoire d’une amitié entre deux fillettes : Cécile, la citadine en vacances à Belle-île, et Gaëlla, une enfant du pays, frappée d’un étrange mutisme !

       Tout semble les séparer, pourtant elles vont se découvrir et vivre ensemble une aventure qui les métamorphosera l’une l’autre.

        Ce récit poétique est une parabole de la parole et du silence.

La parole nous fait devenir des être humains, mais c’est dans le silence que s’ouvre la brèche par où s’engouffre l’Absolu, révélant la partie divine de notre nature, trop souvent occultée par des préoccupations exclusivement matérialistes.

       Ce récit merveilleux a fait l'objet de mises en scènes théâtrales  à plusieurs reprises

La Nantaise Catherine Girard-Augry, vient de faire paraître son dernier ouvrage chez Hélios

Gaëlla, l’alchimie du silence.   (une parabole de la parole et du silence)

       Un roman sensible sur la rencontre de deux jeunes filles:
l’une venant du continent avec sa vie de citadine, l’autre de Belle-lIe, privée de parole après un traumatisme. C’est évidemment l’histoire d’une amitié, mais surtout celle du pouvoir de l’amour sur les êtres, de l’enrichissement mutuel né de la différence, mais aussi des parties plus obscures de l’humanité, où justement cette même différence est parfaitement rejetée.
      L’écriture, d’une grande délicatesse, est accompagnée de dessins de l’artiste nantais Paul Dauce           ( médaille d’or  des artistes français)
     Une préface d’Armel de Wlsme :« Gaëlla ne pouvait être que malheureuse, mais peut-être moins qu’on ne le supposait précise l’historien Armel de Wisme qui a préfacé l’ouvrage. « impossible de la comprendre sans la relier à ses origines.            Comme les plantes, elle vivait avec les saisons ; La mer et le ciel étaient pour elle l’affirmation de beaux rythmes, de puissants contrastes, de la vie intérieure des choses et de mystérieuses présences. Cette petite fille muette et solitaire déchiffrait l’invisible».

D  Auduc  -  Presse-Océan  -